Course nature de la Vie 32km
Une histoire de duels !
Le 32km du dimanche était aussi le lieu de l’explication finale. L’ultime combat… Le challenge 16-32 se terminait là. Bagarre en tête, bagarre dans les tréfonds du classements entre Rapvistes.
Duel montagne vs bocage !
PG
Devant, sans surprise, Louis Sorin, ex : sociétaire du RAPV et pour toujours dans nos coeurs, montrait que la montagne ça vous gagne. Il a beau s’entrainer dans les plaines des Alpes, il maitrise encore les pentes vendéennes. 1er en 2h20, quelques secondes devant un certain Guillaume Jourdain. Faisant course commune, il lui a intimé l’ordre de le lâcher pour s’imposer. Louis avait attendu son ex : coach toute la course. C’est mérité.
2ème Guillaume Jourdain, 2h20, 5ème, notre fusée à retardement Michaël Bouyer en 2h26. 17ème Emilien Bertheau (2H32), 24ème Jessy Arnaud (2H35), 41ème Mario Roux (2H46), 46èmes Damien Grimaud (en prépa pour la HOT) et Anthony Audineau (2H49), 50ème Flavien Retailleau (2h50), 75ème Julien Neau (2H59), 78ème Christophe Guillet (3H01), 83ème Yohann Tenailleau (3H06), 86ème Aurélien Audineau (3H07), 94ème Jérôme Poiroux (3H11), 103ème Stéphane Guérin (3H14), 116ème Patrice Grelier (3H20), 133èmes Hugo Hervouet et Pierre Guilbaud (3h34), 152ème Cédric Longin (4h).
Duel pour une boite, Bertheau vs Arnaud
PG
Du coup si ça bataillait devant pour une belle place, ça bataillait partout pour passer devant son adversaire du RAPV.
Guillaume Jourdain s’impose sur ce défi 16-32. Emilien Bertheau monte sur la boite, bien challengé par un Jessy Arnaud accrocheur (45″ d’écart le soir et 2’11 sur 32km).
Michaël Bouyer qui accompagnait sa fusée de femme le soir, a joué les PACMAN avec une remontada à faire pâlir le PSG. Il est finalement 7ème, laissant derrière lui 18 adversaire qui l’avaient devancé la veille.
Damien Grimaud, d’une régularité métronomique est 9ème (1h11 + 2h49).
Duel pour l’honneur : l’Oignon vs le Buffle
PG
La grosse bagarre (ou la bagarre du gros) se trouvait en fin de peloton. Quoi de mieux pour tenir en haleine les spectateurs nombreux qu’un duel Rapicide. Jérôme Poiroux avait 6′ à remonter sur Pierre Guilbaud. Ce dernier conscient de ses lacunes est parti devant. S’accrochait jusqu’au 15ème kilomètre, sans pouvoir s’arrêter pour boire, mis sous pression par ce diable de Poiroux. Malgré un merveilleux sacrifice de son coéquipier Hugo Hervouet, au service de son leader dans la montagne comme dans la plaine, Guilbaud, impuissant face à la régularité de Poiroux ne pouvait que constater la supériorité de l’Oignon. Encore une fois, Poiroux tire des larmes d’un adversaire, méritant définitivement son surnom.